Cet article est le premier test d’une série de contenus en partenariat avec BonjourIngrid. BonjourIngrid scanne quotidiennement les sites de mode pour repérer les baisses de prix et des spécialistes sélectionnent les produits en baisse les plus stylés.
On s’est dit qu’appliquer la technologie de BonjourIngrid sur le rayon « bébé » d’Amazon serait un bon moyen de rythmer la catégorie « Pour t’équiper » du Paternel (parce que le comparatif des sièges auto, on a commencé à l’écrire, et puis on s’est endormi).
Ce bric-à-brac aléatoire d’articles en baisse, ça nous inspire. Des bons plans pour les lecteurs, ça ne fait pas de mal. Et la commission d’affiliation partagée avec BonjourIngrid, on l’assume sans problème et on peut t’assurer qu’elle ne guidera pas nos choix de sujet. D’ailleurs, si elle dépasse les quelques dizaines d’euros, nous l’afficherons en toute transparence sur chaque article concerné.
Et maintenant, l’article qui va te donner envie d’acheter enfin ce que tu n’avais jamais pensé à acheter 😉
D’avance, voici ta médaille : ?
Tu es sur le point de prendre une initiative paternelle rare, même parmi les pères les plus impliqués. Un petit clic pour l’homme, mais un grand pas pour ta paternité.
Tu vas acheter des bavoirs !
Les bavoirs, par définition, ça se salit vite. Et on n’en a jamais assez. C’est d’ailleurs comme cela que l’on reconnaît un appartement de jeunes parents. Il y a des bavoirs en train de sécher.
En plus, au fur et à mesure que l’enfant grandit, le stock de bavoirs doit s’adapter. Du petit bavoir-éponge des débuts – parfait pour recueillir les légers retours de lait et les litres de salive manifestement nécessaires pour faire pousser les dents – à l’armure en plastique dur avec bord incurvé – quand l’enfant sait manger son steak frites tout seul, mais que sa capacité d’attention est trop courte pour garantir 100% des trajets assiette-gosier.
En passant par le modèle du jour : le bavoir mi-éponge, mi-étanche. L’idéal pour piéger les projection de la purée que tu essaies péniblement de faire entrer, et rester, dans la bouche du bébé de 6 mois et au-delà.

Bonjour la bonne affaire
Si on te parle de ces bavoirs, ce n’est pas seulement pour t’inciter à faire progresser l’indice de « pères qui ont déjà acheté des bavoirs » français (pour nous aider à évaluer cet indice, merci de participer au sondage sur Facebook).
On sait aussi que, en bon pater familias, tu aimes les bonnes affaires.
Le Paternel s’est associé avec BonjourIngrid pour traquer la baisse du prix des produits qui vont t’aider à être le père préféré de tes enfants, et de leur mère, tout en économisant de l’argent.
Figure toi que le prix de ces bavoirs a baissé de 28% depuis dimanche, comme le Bitcoin. Et, à l’heure où ces lignes sont rédigées, tu peux les acquérir pour la modique somme de 6,90 euros (édité : ils ont de nouveau augmenté, alors que le Bitcoin, non).
C’est du bon matos, ces bavoirs ?
On a regardé le détail des avis, pas tous géniaux. Les critiques principales semblent être « ne passe pas au sèche-linge » et « il y a un côté en plastique ». Pour être mi-étanches il faut bien du plastique. Et le plastique, ça n’aime pas trop être chauffé. Donc hors sujet, 0/20.
Ce n’est certainement pas le produit le mieux fini de l’année, mais tu ne prévois pas non plus de les transmettre à tes petits-enfants ces bavoirs.
Pour le design, tu as le choix entre « Inde », plutôt garçon, ou « Asie », plutôt fille*. Tu peux t’en foutre des clichés genrés et choisir l’Asie parce qu’ils sont encore moins cher, ou l’Inde parce qu’ils sont plus jolis, selon nous.
Acheter ces bavoirs à̶6̶€̶9̶0̶ (baisse de prix terminée)
PS : On aurait pu te parler de bavoirs chics, voire de bavoirs bandana. Mais on pense que tu n’es pas encore prêt. Nous-mêmes, on n’est pas prêts.
*L’Inde est en Asie, oui. On n’a pas participé au marketing de ces bavoirs.
Crédit photo : Kelly Sikkema